Xavier, 38 ans, souffre de diabète de type 1
Le diabète est une maladie chronique qui touche près de 6% de la population mondiale (source : OMS). La Fédération Française des Diabétiques recensait en 2015 3,7 millions de français se soignant contre le diabète. En 2010, elle estimait par ailleurs que 700 000 autres personnes ignoraient en être atteintes.
Comme 10% des français atteints de diabète, Xavier souffre de diabète de type 1. “Pour faire simple”, nous a-t-il confié, “le pancréas ne fonctionne plus et ne produit plus d’insuline indispensable aux cellules pour utiliser les glucides”. En résulte une glycémie anormalement haute, notamment pendant les prises alimentaires (hyperglycémie), et anormalement basse (hypoglycémie) en cas de jeûne ou d’activité physique. Ces hypoglycémies se manifestent par des sueurs, maux de tête, tremblements… Elles peuvent être graves en l’absence de prise rapide de sucre, avec notamment un risque de coma. Ces événements, quotidiens chez les patients dont la maladie est mal contrôlée, ont un effet dévastateur sur les organes ainsi privés d’apport énergétique.
“Ca m’est un peu tombé dessus par hasard”
“Ça a été une sacrée surprise”, se souvient-il. “Je me sentais parfaitement en forme, je faisais un peu de sport, je mangeais sainement… bref, j’avais une vie normale quoi. Mais il y a un an, des prélèvements sanguins ont révélé que j’étais atteint de diabète.”
Xavier, qui a 38 ans, était loin de se douter qu’il pouvait être sujet au diabète. Et pourtant, son jeune âge et son mode de vie n’y pouvaient rien : 50% des cas de type 1 se déclarent même avant l’âge de 20 ans. Si la prévalence de la maladie ne cesse par ailleurs d’augmenter, au rythme de 3 à 4 % par an depuis une vingtaine d’années, son apparition est en effet de plus en plus précoce. Les raisons de ces évolutions sont inexpliquées à ce jour, mais les modifications de l’environnement et de son interaction avec le génome sont incriminées : taux d’infections virales, accroissement de l’âge maternel, alimentation, exposition à des toxines…
Le diabétique doit adapter son mode de vie
“Il y a l’injection d’insuline quotidienne, bien sûr, et le contrôle permanent de mon taux de glycémie. Après, j’adapte mes repas en fonction de l’activité physique que je prévois. Évidemment, j’évite le sucre. Oui, ça fait quand même pas mal de choses”.
D’autant que tout ceci ne se fait pas non sans effort, explique Xavier : “J’ai passé pas mal de temps à chercher ce que je pouvais et devais manger, en fonction des apports en glucides. Quand tu es de type 1, tu dois tout quantifier pour adapter la dose d’insuline de ton traitement, c’est pesant au début”. Pour finalement trouver une solution : “Je suis tombé un jour sur un article qui présentait l’effet stabilisateur du Moringa sur la glycémie. Je me suis dit pourquoi pas”.
Le Moringa permet de réduire le taux de glycémie des diabétiques
Une étude scientifique de 2009 a prouvé que la consommation en infusion de feuilles de Moringa réduisait le taux de glycémie des diabétiques en situation d’hyperglycémie. Ainsi, les résultats de cette étude montrent que boire une infusion de Moringa n’a au bout de deux heures aucun effet significatif sur le niveau de sucre dans le sang des personnes à la glycémie normale (entre 60 et 120 mg / dl) mais permettait une baisse de la glycémie de 28,15 mg / dl chez les patients hyperglycémiques. L’étude concluait alors qu’une thérapie à base d’infusion au Moringa serait souhaitable, car bon marché et facile à appliquer, pour les personnes atteintes de diabète et soignées par injection d’insuline.
C’est simple : moins de sucre dans le sang, moins de besoins en insuline. Moins de prise d’insuline, moins de risque d’hypoglycémie.
“Prendre votre Moringa m’a permis de réduire de 20% le dosage de mes injections d’insuline”
Quoi de mieux que de faire ses propres expériences ? Xavier nous a révélé avoir constaté les bienfaits du Moringa sur son taux de glycémie très rapidement. “Je prends votre Moringa depuis environ trois mois, à raison de l’équivalent de deux infusions par jour. Les résultats sont sensibles : la glycémie est plus stable, j’ai d’ailleurs moins de hausse même quand je fais des excès. J’ai du coup diminué le dosage de mes injections d’insuline de 20% environ. Autre chose vraiment plaisante : je fais moins d’hypoglycémie.”
“En infusion, c’est quand même pratique"
“Je ne suis pas le genre de mec à me précipiter sur des remèdes inconnus. Et puis les compléments alimentaires… Quand j’ai découvert que le Moringa existait autrement que sous forme de gélules, j’ai sauté le pas. J’ai bien aimé votre packaging, qui a un look fun. En fait, c’est surtout ça qui m’a donné envie d’essayer. Et comme j’aime bien les infusions en règle générale…”
Un format qui s’adapte parfaitement à son mode de vie : “ Comme je suis commercial et que je me déplace constamment en voiture, je me prépare des thermos le matin. Je débarque chez mes clients avec, ils sont d’ailleurs plutôt intéressés ! Cet été, je me ferai des infusions froides, quitte à mélanger avec d’autres infusions pour varier les plaisirs.”
“Je suis sûr que cela peut fonctionner pour ceux qui ont un diabète de type 2”
“Boire ces infusions au Moringa ne me permet pas d’éviter le traitement, bien sûr, mais un diabétique de type 2 non insulino dépendant (NDLA : dont le pancréas est toujours en capacité de produire de l’insuline) pourrait sûrement le réduire voire s’en passer”. En effet, le diabète de type 2 se caractérise par une hyperglycémie chronique, provenant d’une baisse de sensibilité des cellules – en particulier celles du foie, du muscle et du tissu adipeux – à l’insuline. Le pancréas est de ce fait poussé à produire toujours plus d’insuline afin de forcer les cellules à absorber le glucose, jusqu’à épuisement total. Un pancréas épuisé ne produit plus d’insuline.
Le Moringa permet de réguler la glycémie dans le sang et ralentit par conséquent la production d’insuline par le pancréas. Moins sollicité, il aura ainsi moins tendance à s’épuiser. Xavier peut alors conclure : “ Les infusions au Moringa pourraient sans doute empêcher l’organisme des diabétiques de type 2 de se dégrader davantage”.
Source :Antony Ardisson Anothertree.com